POMPIERS
Leur devise "COURAGE ET DEVOUEMENT" Patronne : Sainte Barbe. Eva je rajoute ici une photo prise mercredi. Tu vois çà sert toujours à quelque chose la tête en l'air. Mon arrière grand-mère s'appelait Barbe = Barbara. Bref...
Beaucoup d'entre vous me questionnait sur le sèchage des tuyaux et ne croyais pas mes dires. En principe si on poste un article on a pris des renseignements mais c'est vrai qu'il arrive de faire une erreur. J'ai fait des recherches. Vous avez raison je n'ai pas vraiment trouvé d'articles. Bon pas le temps de creuser ce jour.
Dans les années 1950 les tuyaux sont fabriqués en toile. Il est indispensable de bien les entretenir pour qu'ils ne moisissent pas. Ils sont entreposés roulés.
La tour de sèchage (dans les villes) fait partie de la caserne, mesure au moins 1 m 50 de large et doit s'élever au moins à 12 mètres de haut. Les tuyaux sont tirés vers le haut par un treuil à manivelle, électrifié par la suite. La tour sert à installer des antennes radio et la sirène d'alerte. Les nouveaux matériaux permettent le sèchage grâce à une soufflerie. Celà explique la dispartition des tours.
Deux photos du même lieu ? Je voulais souligner la verticalité de la balustre de l'escalier et du grillage. J'avais aussi remarqué la grille d'aération ronde au haut de l'escalier (1ère photo) et la fenêtre ronde (sur la seconde photo.
J'ai lu sur un article qu'à Lyon en 1895 les tuyaux furent suspendus au Pont Lafayette ou étendus sur le quai. Ils séchaient en 8 h au lieu de plusieurs jours dans une pièce séchoir, jusqu'à l'érection d'une tour.
Dans les villages il y avait les pièces sèchoirs avec la tour en bois qui permettait la circulation de l'air.
Je vous montrerais celle du village de mon enfance (fait le scan d'une photo prise en 97 mais n'arrive pas à insérer). Mon grand-père y était chef pompier des années, ne vous déplaise, et celle d'une commune voisine de la mienne. Et voilà encore un sujet à "collecter". Alors ouvrez l'oeil dans vos communes.
BON VENDREDI A TOUS et merci de m'avoir lue.